vente de lait à la ferme autour de moi

Produitsde la ferme. De nombreuses fermes sont installées sur le territoire. Les agriculteurs essonniens profitent de vastes espaces pour y cultiver les oléagineux et les fourrages qui nourriront leurs élevages. Sont présents en Essonne de nombreux volaillers (poulets, oies, dindes, lapins), des élevages de poules pondeuses et un élevage Fermepédagogique Côtes d'Armor, ferme pédagogique Bretagne, visite guidée Côtes d'Armor, visite guidée ferme Bretagne, visite de groupe Côtes d'Armor, élevage de chèvres naine et moutons d'Ouessant, travail de la laine, vacances à la ferme à Pont-Melvez. Connectez-vous. Coloriages créatifs autour de la ferme avec une approche pédagogique. Valérie et Alain ont Lacueillette de Cergy vous accueille sur 40 hectares pour cueillir fruits, légumes et fleurs de saison. Sur place, un marché de produits fermiers. A15 / Sortie n°13, Route de Courcelles, 95650 Noustransformons le lait de nos biquettes en différents produits : fromages lactiques, tomme, yaourt, faisselle, beurre, crème etc . Elle propose également des œufs frais de poules élevées en plein air. Nous proposons des visites à la Ferme et une vente de nos produits au sein d’un magasin à la Ferme. Venez randonner au cœur de la vallée du Lison, nous serons heureux de Oùl’amour des ânes rime avec un choix de vie proche de la nature et l’utilisation des produits qu’elle nous offre. en savoir plus Jean-Pierre Bazin Maréchal-Ferrant. En ce moment chez TURS’Âne Prochaine visite à la Ferme : Jeudi 14 Avril à 17h00 sur Inscription au 06 70 52 98 46, puis me contacter pour les autres jeudis à venir.merci. Reprise pour moi du Marché d not angka lagu waktu tuhan pasti yang terbaik. C’est une belle aventure dans laquelle s’est lancé un jeune couple d’agriculteurs de Sérazereux, près de Chartres. Alors que le nombre d’exploitations laitières diminue en France, Clara Servian et Simon De Vos, âgés de 24 et 25 ans, se sont lancé un défi pour se diversifier. Ils ont créé leur propre élevage sous le nom “Les Vaches de Fadainville” au sein d’un Groupement agricole d’exploitation en commun GAEC. Un investissement de €, aidé par la Région Perrette et le pot au lait, conte de notre enfance, devient ainsi une réalité en Eure-et-Loir. Tout consommateur qui le souhaite peut venir à la ferme avec son bidon, sa bouteille en verre et apprécier le lait en direct du petit élevage. Clara Servian et Simon De Vos se sont connus pendant leurs études en BTS Analyse, conduite et stratégie de l’entreprise agricole. Le jeune homme a repris l’exploitation de son père en 2017. Pendant ce temps sa compagne travaillait dans une ferme en Normandie qui faisait de la transformation de produits laitiers. Elle y a acquis une expérience qu’elle voulait mettre en œuvre pour son propre compte. En 2019, un voisin, partant à la retraite, a proposé au jeune couple de reprendre son exploitation céréalière. Mais pour la jeune femme une ferme sans élevage n’est pas une vraie ferme. Après les démarches nécessaires et la recherche de subventions, le GAEC a pu être créé. Le coût de l’installation est évalué à €. Le projet a bénéficié d’une aide de la Région, grâce au Feder Fonds européen de développement régional. Eleveurs de vaches charolaises à Coltainville, ils ont choisi le 100 % circuits courts Sur les 210 hectares de l’exploitation, 195 sont cultivés en céréales et 15 sont réservés dont 5 pour le pâturage et 5 pour la fauche. Ils aménagent une grange non adaptée aux engins agricoles, mais qui convient très bien à l’installation du laboratoire de transformation et au magasin. Une autre partie servira de maison d’hiver, dite la stabulation, pour les vaches. Trois vaches kiwi Aujourd’hui, nous avons 3 vaches de race Kiwi. C’est un croisement de prim’Holstein blanche et noire et Jersiaise marron une race rustique qui s’adapte bien dans nos régions. C’est un petit cheptel qui au fil des mois devrait s’agrandir, mais nous n’irons pas au-delà d’une quinzaine de vaches laitières », rapporte Clara Fadainville, Clara Servian en compagnie d'Origami, l'une des premières vaches de son élevage. La quarantaine de litres de lait produite par jour est transformée en crème, fromage blanc, yaourt sur lit de confiture bio il faut un litre de lait pour 8 yaourts au lait entier brassé ou écrémé non brassé, beurre doux ou demi-sel, crème fraîche. Le tout sans conservateur et sans colorant. Le lait cru entier se conserve 3 jours ou plus en le faisant bouillir. Nous demandons aux clients d’apporter leur bouteille afin de réduire l’emballage. » Produits sains et dynamique locale Déjà, la première vache, répondant au joli nom d’Origami, est inséminée. L’agricultrice est en attente de savoir si elle va avoir un petit. Neuf mois de gestation sont nécessaires et six mois pour élever le veau. J’espère pouvoir proposer du veau à la vente. C’est un lourd investissement, mais on savait où on allait. Sur l’exploitation céréalière, il n’y a pas assez de travail pour deux. Nous vendons nos produits à la ferme, mais également aux petits revendeurs. Nous voulons partager nos valeurs produits sains, moins de transports, dynamiser le territoire, consommer frais, explique le couple. Les visiteurs peuvent rencontrer Origami et ses deux copines ainsi que l’endroit où on les trait. Il y a un vrai retour aux choses simples et naturelles ». À la Blache, un hameau de Malrevers, Claude Bonnet est producteur laitier, succédant à ses parents, Louis et Bernadette. L’EARL des Écureuils, appelée à devenir Gaec avec l’installation de Pauline, l’épouse de Claude, est en pleine transformation. La construction d’un atelier de transformation du lait, jouxtant la stabulation des animaux a beaucoup avancé ces dernières semaines. J’ai voulu me reconvertir, nous avons réfléchi à un projet commun » Un bien bel outil de travail, avec magasin, laboratoire, chambres froides, négative et positive. Outil qui sera le domaine de la jeune femme, laquelle a dû passer par une formation agricole un BPREA adulte à l’ISVT avant de mettre son projet sur les rails la fabrication de glaces, yaourts, desserts lactés et la vente de lait cru. Pauline ne vient pas du monde agricole. Elle exerçait la profession de libraire au Puy-en-Velay. Avec une cinquantaine de vaches laitières, 80 hectares, l’exploitation est quasiment autonome aujourd’hui mais n’offre guère de possibilités d’agrandissement. Le foncier, prairies, cultures de céréales, maïs est entièrement consacré à l’alimentation des animaux. L’agriculteur a même cultivé de la lentille pour la première fois, dans l’idée de faire de la vente directe. Cette première culture n’a pas été franchement concluante comme pour la plupart des producteurs cette année. Le souhait de Pauline Bonnet n’est pas, du reste, de devenir productrice de lait, bien qu’elle participe aux travaux de la ferme. litres de lait seront transformés J’ai voulu me reconvertir. Nous avons réfléchi à un projet commun avec Claude, on a décidé de s’associer » explique la jeune femme. Cette association sera effective à partir du 1er janvier. Le projet est passé en commission départementale d’orientation agricole le 1er décembre. Sur les litres de lait produits annuellement et livrés à la Fromagerie de Beauzac, autour de litres seront prélevés pour les besoins de la transformation à la ferme. Pauline Bonnet a fait le calcul Il faut dix litres de lait pour faire un kilo de fromage, tandis qu’avec un litre de lait on réalise un litre de glace, voire plus. Si on parvient à transformer une telle quantité, on devrait avoir pas loin de 10 tonnes de produits à écouler ». Les glaces seront donc réalisées à partir du lait mais aussi de la crème. La jeune femme projette de proposer bien d’autres produits lactés faisselles, riz au lait… Les produits seront commercialisés sur place, dans le magasin en cours d’installation. Pauline affiche ses ambitions On mise aussi sur l’évènementiel, les structures touristiques, écoles, épiceries, voire un marché hebdomadaire l’hiver surtout pour les yaourts ». La jeune femme compte sur la situation privilégiée de l’Emblavez entre Le Puy et Yssingeaux. Le beau laboratoire de transformation, en cours d’aménagement, jouxte la stabulation des vaches laitières. Un gros investissement La seule contrainte de la glace, c’est l’investissement, avec des machines onéreuses, turbine, pasteurisateur, un groupe froid, et un laboratoire suffisamment grand » indique l’exploitante. Les installations reviennent à plus de €, qui devraient être en partie subventionnées Europe, Région, Département. Deux apprentis, Lise et Nathan, viennent récemment de rejoindre l’exploitation pour participer au projet. Les essais de produits seront réalisés en début d’année pour un début de commercialisation espéré au printemps, au plus tard courant mai. Un professionnel glacier sera là pour épauler et former l’exploitante. On se donne le temps de peaufiner les produits, dit Pauline. La glace est assez technique, comme du reste la pâtisserie. Il faut jouer sur les textures, obtenir un produit suffisamment onctueux, pas trop dur, respecter la chaîne du froid. L’avantage est d’avoir une DLC date limite de consommation assez longue ». La jeune femme est appliquée. Pas question pour elle de brûler les étapes. Mais elle ne manque pas pour autant d’idées, y compris de proposer des animations à la ferme une fois que son activité sera lancée. Philippe Suc Coup d’pouce » à trois projets innovants d’agriculteurs en France Une société basée dans le Loiret a lancé un jeu dans le courant de l’année, une opération baptisée Coup d’pouce » et distribué € de prix allant à des projets innovants de diversification agricole. L’EARL des Écureuils de Malrevers a décroché le premier chèque remis aux exploitants de Malrevers. Copadex, une entreprise familiale installée à Châlette-sur-Loing dans le Loiret est spécialisée dans l’importation et la commercialisation de pneumatiques auprès de professionnels. Elle a lancé une opération pour le moins originale, une communication éthique », baptisée Coup d’pouce » et permettant de valoriser des projets apportant une plus-value à une production traditionnelle. On a voulu sortir de la communication standard consistant à dégager un budget marketing en direction de nos magasins, de parler de la marque autrement » indique Thomas Giacomanti, responsable web de la société. Trois exploitations en France ont été sélectionnées sur le nombre de votes des internautes sur un site dédié et après délibération d’un jury constitué de professionnels du pneumatique, comptant pour 50 % dans la note finale. Ces projets ils étaient seize au départ étaient respectivement dotés de et euros de prix. À Malrevers, l’Écureuil glacier de Pauline et Claude Bonnet qui envisagent de transformer le bon lait en glace » s’est donc vu décerner le premier prix. Il a été remis dernièrement aux agriculteurs. Un bien beau cadeau lors des fêtes de Noël ! Le deuxième prix est allé à une exploitation de Beaudan dans les Hautes-Pyrénées qui cherche à développer un escape game à la ferme. L’idée étant de permettre à des aventuriers » de partir à la découverte des outils d’antan, ainsi que le travail du fermier. Le troisième prix est décerné à une exploitation de Teisseires dans le Cantal qui veut investir dans un cornadis pour chèvres, un système antigaspillage évitant que les animaux ne tirent le foin et ne le jettent par terre. Le Penthièvre vous propose 40 bonnes adresses dans l'agglomération de Saint-Brieuc pour acheter vos denrées alimentaires directement à la ferme. Par Yann André Publié le 27 Mai 22 à 927 mis à jour le 27 Mai 22 à 927 PLAINTEL. La chèvrerie de Gaëlle et Philippe Paranthoën compte plus d'une centaine de têtes. ©!Michel ColinPour se nourrir près de chez soi et faire connaissance avec les producteurs locaux, rien ne vaut les circuits courts. Il y a toujours une bonne adresse à le Moulec. Gérard Le Moulec, vente à la ferme de viande en gros ou au détail bœuf, veau, porc, agneau, 7, rue Danton. Lundi au vendredi 8h-12 h30 et 14h30-19h, samedi 8h-12h30. Sur commande au 02 96 94 11 Ar Goued. Raphaël Alexis vient de reprendre une ferme aux Villages, rue de Berrien. Fromages de chèvre, yaourts, fromages blancs, bûches… Vente directe mercredi et vendredi 17h-19h, dimanche 10h30-12h. Tél. 06 37 15 88 Ville Huet. Benoît Blaise propose poulets, saucisses de volaille, pintades, canards, dindes, lapins entiers ou découpés, porc frais, charcuterie, légumes de saisons, crémerie, cidre, miel, conserves de cerf, orgé, pâtes fermières, produits laitiers, œufs… Route des Rosaires, vendredi 14 h 30-15 h 30 et samedi 10 h-12 h. Tél. 06 34 95 94 29 ou Ville au Roux. Colis de viande de porc à partir de 5 kg. Angélique et Mathieu le Creurer 11, Ville au Roux. Tél. 06 30 03 24 85 ou [email protected]La Rose des Vents. Sébastien Richomme a créé sa microbrasserie en 2019. Il produit trois sortes de bières à base de Malt d’orge biologique. Il est présent sur de nombreux marchés et vend directement au 3, rue de Kerpeux. Sur commande au 06 64 34 51 08 ou [email protected]TrégueuxLa Ville Hervieux. La famille Robert propose fruits et légumes de saison au Gaëc de la Ville Hervieux. Tél. 02 96 71 19 19 ou [email protected]Vidéos en ce moment sur ActuHillionLes Villes Marottes. Les frères Joseph et Bertrand Guernion vendent les produits de leur élevage à la découpe et préparés par un artisan boucher porc sans antibiotiques, veau et génisse. Les Villes Marottes. Sur commande au 02 96 32 22 p’tits légumes. Légumes et fruits bio. Retrait de paniers sur commandes mercredi et vendredi soir à La Ville-Indeloup. Tél. 06 62 79 38 01 ou [email protected]Jardin des Salines. Antoine Cabaret propose carottes, pommes de terre, poireaux et choux, tomates, mâche… Tout en bio. Retraits sur commande mardi et vendredi. Tél. 02 96 63 90 31 ou [email protected] ou Champ Oisel. Poulets Label Rouge. À Saint-René. Sur commande au 06 07 51 86 pré en bulles. Cidre et jus de pomme. Vente directe aux particuliers vendredi 17h-19h et samedi 10h-12h à Carmoen 32, route de Fortville. Tél. 06 47 60 16 de la baie. Jean-Yves Berville propose toute l’année du miel issu de sa production. Contact 5, rue du Rivage, tél. 06 77 29 15 98 ou [email protected]Légumes de la baie. Carottes, pomme de terre, ail, oignon et échalote. Vente directe les mercredis, 14 h-19 h, de août à mars uniquement au 35, rue de la Marne. Tél. 02 96 63 91 Saint-Ilan. Vente directe des produits de l’école plants, fleurs, fruits et légumes de saisons le vendredi 10h-12h et 13h30-16h en période scolaire. Les commandes doivent être passées avant le jeudi soir 18h. Tél. 02 96 52 58 58 ou de sous la ville. Viande bovine, porcine, ovine et volailles, légumes, produits laitiers… Mardi au samedi 9h30-12h30 et 15h-19h. Tél. 02 96 71 97 12 ou Ferme du Buzuk. Laurent Guilcher légumes et plants bios. Avenue des Ajoncs d’Or. Tél. 06 71 40 79 des allées couvertes. Gwennaël Ollivier y cultive sur 3 ha fruits et légumes bio. Vente le vendredi de 17 h à 19 h 30. Tél. 06 47 66 84 Ollivier Jumel cultive de nombreuses variétés de fruits et légumes bio. Vente à la ferme les mardis et vendredis 16h30-19h. Ferme Toutipousse 19, rue des Grinsailles direction le Rocher Goëland. Tél. 06 24 30 57 du Cloët. Volailles fermières et œufs bio. Ferme du Cloët 28, rue de Coëtquen. Commandes au 07 68 12 21 66 ou [email protected]Panier de la Lande. Œufs frais, cidre fermier, fruits et légumes de saison. Agriculture biologique et raisonnée. Livraisons à domicile. Tél. 06 45 91 42 17 ou Croix Péran. Viandes bovines et porcines label rouge, poulets bios. Ferme de La Croix Péran. Chez Bernard et Marie-Bernadette Michelet. Sur commande au 02 96 71 24 69 ou 06 25 80 23 87 ou [email protected]La ville Guinvray. Porcs élevés sur paille sans antibiotiques, volaille, bœuf, veau, produits préparés, cuisine texmex. Mercredi et vendredi 16 h-19 h et samedi 9 h 30 -12 h 30. Sur commande au 06 01 42 80 99 ou [email protected]Saint-DonanLa Blandirie. Produits laitiers lait Ribot, lait pasteurisé, lait à boire, tome de la ferme, petits frais aromatisés… Fromages. Sur commande. Chez Christophe et Véronique Le Fol, route de Quintin. Tél. 02 96 73 94 70 ou [email protected]Saint-JulienJardin de la Coste. Vente directe de légumes de saison. Route de Sainte-Anne-du-Houlin le samedi 9 h-12 h 30 et en semaine sur commande au 06 34 98 35 de la Garenne. Tome de brebis, faisselle, brousse, feta, yaourt nature… Vente à la ferme le vendredi 17 h-19 h et le samedi 11 h-12h30. Ferme de la Garenne. Tél. 07 83 79 31 09 ou [email protected]Prairies de La Noë. Fromages bio au lait de vache. Vendredi 17 h-19 h et samedi 11 h-12h30. Tél. 06 79 99 89 réputation de la pomme de terre de Ploeuc n’est plus à faire. Plusieurs producteurs en vendent sur leur de la lande Valo, Sébastien Choupault, La Lande Valo, 06 62 17 65 du Chesnay d’en haut, Isabelle et Daniel Allo, Le Chesnay-d’en-Haut, 06 81 28 60 Les Norniers, Annick et Patrick Le Feuvre Les Norniers, 06 86 32 96 ferme du millet, Frédéric Ecobichon, Le Millet, 02 96 70 59 de Berlugeon, Marie-Hélène et Frédéric Houée, Berlugeon 06 82 01 64 de la cour de Bayo, Laurent Tardivel, Bayo, 06 75 00 24 de la Guittée, Pascal Rault, Le Chesnaye d’en bas, 06 89 78 54 des 4 vents, Fernand et Loïc Tertre, La Hazaie, 06 74 92 30 la ferme du cèdre bleu, Monique et David Briend, 06 72 73 53 17. PLOEUC. Au royaume de la pommes de terre, de nombreux producteurs font de la vente direc ©Michel ColinRuchers du Pont d’Or. Thierry Colin miel et produits du miel 1, rue de la 06 37 28 57 99 ou [email protected]LanfainsVerger du Clos à Lin. Vente directe de fruits chez Jacques et Pascale Boscher kiwis, fraises, pommes… Pendant la période estivale vous trouverez également tomates, courgettes, concombres et melons. Vergers du Clos à Lin, lieudit La Salle. Tél. 02 96 32 46 55 ou [email protected] ou du Rocher. Morgane Le Méhauté élève des poulets bios. Vente directe samedi 9h-12h30 ou sur les marchés de Plédran, Quintin et Yffiniac. Elle est membres des voisins de panier et du marché nomade. Tél. 06 78 64 66 95 ou Menhir. Endives octobre à mai, courgettes, légumes de saison. Chez Claire et Ludovic Serré, lundi au vendredi 8h-12h, EARL Ty Menhir 2, rue du Tertre Roussel. Tél. 02 96 74 90 55 ou 06 18 80 16 du Chemin Vert. Colis de viande de bœuf, de veau de lait bio et melons. Ferme du Chemin Vert, 4 impasse des fougères. Tél. 06 48 65 75 Haut CorlayLa Garenne Morvan. Élevage de chèvres angora, de tricots et tissages en mohair pulls, vestes, gants, écharpes, couvertures, plaids, chaussettes, chaussons, fils à tricoter… Accueil pédagogique de groupe, camping-car. Vente à la ferme du mardi au samedi 14h-18h et sur rendez-vous. Tél. 02 96 29 44 18 ou HarmoyeLa Pleuroterie. Pleurotes bio extra frais, cueillis juste avant la livraison. Vente à la ferme 3, La Lande de Cartravers le mardi 17h-19h30. Sur le marché de Quintin le samedi matin. Tél. 06 35 56 39 71 ou non article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Penthièvre dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. Rédigé par , le 8 Oct 2015, à 6 h 04 min Patrick Seguin est un homme convaincu. Né d’un père viticulteur et de grands-parents fermiers dans le Lot-et-Garonne. Il a toujours gardé de sa jeunesse une certaine nostalgie et un vrai savoir-faire. Au point de décider, après une première vie professionnelle comme artisan, de se lancer dans l’aventure de la Ferme de Tauziet et de prendre en charge l’exploitation des volailles et du potager. Avec la vente directe, il combat le diktat des grandes surfaces et s’insurge contre le tout discount. Comment ? Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus. Vente directe acheter local à des prix justes, c’est possible Des producteurs landais se sont regroupés et ont créé un site de vente en circuit court de produits du terroir, pour que le circuit court et la vente directe producteur constituent une solution durable permettant aux consommateurs et aux paysans de vivre mieux, individuellement, mais aussi ensemble ». Sur le principe d’une vente privée, comme pour le linge ou la cosmétique ils offrent la possibilité de commander votre volaille, boeuf, jambon, miel, épices, sur le même espace. Le fonctionnement est hebdomadaire le groupement sélectionne les produits, regroupe les commandes le dimanche soir et collecte les produits en circuit frais. En tant que consommateur il suffit de s’inscrire sur le site et de sélectionner parmi les ventes ouvertes les produits que l’on souhaite, de régler et de valider sa commande. Les colis frais et secs sont expédiés en 24 h le mercredi. Une communauté de producteur et d’agriculteurs La Ferme de Tauziet représente 39 producteurs aquitains soit plus de 300 produits volailles, truffes, boeuf, miel…. Qu’est-ce qui change vraiment pour le producteur ? Le groupement de producteurs rémunère les agriculteurs jusqu’à 4 fois le prix imposé par la grande distribution. Les tarifs ne sont pas négociés par le groupement. Les ventes se font sans qu’ils n’aient besoin de vendre directement sur les marchés, ou d’embaucher du personnel pour tenir une boutique alors qu’ils n’en ont pas les moyens. Patrick Seguin, producteur de la Ferme de Tauziet, nous répond J’ai rencontré beaucoup de monde ! Producteurs voisins et membres également, clients qui viennent retirer leur colis à La Ferme, gens du village qui ont envie d’en savoir plus et se sentent concernés et fiers de leur région. C’est un lien social nouveau qui facilite l’entraide et permet d’échanger sur des projets ou des bons plans’. J’ai ainsi trouvé un approvisionnement de pain dur que les boulangers du coin me garde afin de nourrir les poulardes que je vais sortir pour les fêtes. Ces volailles seront finies’ au pain et au lait pendant près de 3 semaines avant de les retrouver sur les tables de cette fin d’année. J’ai aussi rencontré des amateurs de bons produits. Cette convivialité est importante sans être essentielle. Elle rompt un peu l’isolement que chaque agriculteur vit au moins une fois, et me rappelle que même si cette vocation est difficile, c’est vraiment ce que j’aime avant tout ! J’ai aussi pris beaucoup de plaisir à retrouver mes volailles sur les tables des chefs étoilés de la région. Les voir cuisiner et sublimer avec talent mes volailles ou lapins est une fierté. J’ai aussi toujours autant de joie à savoir que la convivialité d’un déjeuner du dimanche se passe autour d’un poulet de Tauziet rôti. » Avez-vous réellement senti une amélioration au niveau de votre exploitation ? J’ai réussi à valoriser le meilleur de ma production et à me concentrer sur mon coeur de métier. J’ai mis en place de nouvelles parcelles, afin d’améliorer leur rotation et afin d’avoir une herbe dense en végétation et en insectes en permanence. J’ai un dialogue régulier avec mes partenaires la Ferme de Tauziet, ce qui m’aide dans des décisions concernant l’évolution des choix de volailles, mais aussi sur les tailles des lots en fonction de la demande. J’ai ainsi réussi à développer mon activité telle que je l’envisageais, c’est-à-dire tirer le meilleur du terroir sur lequel mon exploitation est implantée, chercher à faire la meilleure volaille, la pintade fermière comme on n’en fait plus, du lapin fermier de plein air. Ces échanges me permettent de rester serein sur ma production. Sans oublier cette passion pour la poule noire landaise dont j’ai enfin réussi grâce à mes associés et à Slow Food qui l’a référencé dans l’Arche du Goût, à domestiquer et à élever. Vous pourrez enfin la trouver sur les tables des grands chefs d’ici la fin de l’année. C’était un gibier très prisé au début du siècle dans les Landes, mais qui dit gibier dit sauvage’. À force de travail et de réflexion, nous avons réussi à mettre en place une poussinière, des reproducteurs et à les maintenir sur une parcelle de 4000 mètres carrés dont elles ne s’échappent plus. » Pensez-vous que ce soit une idée à creuser pour sauver notre agriculture ? Il y a beaucoup de chemin à faire avant de sauver l’agriculture ! Néanmoins il ne faut pas baisser les bras et cette initiative de La Ferme de apporte des solutions évidentes en terme de non-gaspillage ne sont abattues que les volailles déjà vendues et d’adaptation à ma capacité de production qui guide le rythme des Ventes et non pas l’inverse Mais ce qui est sûr c’est que les gens ont le choix de faire leurs courses autrement et de mieux consommer. L’exploitation non intensive en agroécologie est plus paisible à la fois pour l’environnent, pour les animaux et les cultures, mais aussi pour moi en tant qu’exploitant. Je me procure le maïs entier à côté de ma Ferme, mais j’ai fait le choix de le concasser moi-même, car il est plus riche ainsi. Je préfère sortir 200 volailles par mois en les faisant du mieux que mon savoir-faire et mon terroir me le permet que de gérer un lot de 10 000 têtes par semaine, dont l’alimentation et la croissance, sont totalement sont totalement automatisées ! » Connaissez-vous d’autres alternatives de ce type ? consoGlobe vous recommande aussi... Rédigé par Céline Maman, éducatrice spécialisée, bloggeuse pour Mam’conseils, toujours en quête de nouveautés et d’initiatives qui nous permettent de consommer... Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rédacteur Invitation à la ferme, le réseau de fermiers Bio et indépendants qui transforment leur lait sur leurs fermes pour vendre ensuite leurs yaourts fermiers et bio ou fromages fermiers et bio en circuit court et prioritairement en local. Un rêve fou rémunérer à leur juste prix tous les membres de la ferme !... C 2017 Invitation à la ferme. Tous droits réservés

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